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Investissement dans le monde : La Côte d’Ivoire surclasse le Canada et l’Australie en attractivité minière
La Côte d'Ivoire s'impose désormais comme la destination de prédilection mondiale pour l'édification d'exploitations aurifères, détrônant ainsi les nations historiquement hégémoniques que sont le Canada et l'Australie dans le domaine de l'attractivité minière.
Sous le leadership du Président Alassane Ouattara, l'or ivoirien brille de mille feux. Cette métamorphose procède d'une vision stratégique du Chef de l'État, qui aspire à faire du secteur minier le second pilier de l'économie nationale, en complément de l'agriculture.
Mamadou Sangafowa-Coulibaly, Ministre des Mines, a su, tel un maître orfèvre, insuffler à ce secteur une dynamique remarquable à travers les réformes orchestrées par le Président Ouattara. Ces initiatives portent aujourd'hui leurs fruits de manière si éclatante qu'elles érigent la Côte d'Ivoire en nouvel eldorado planétaire.
L'édition 2025 de la conférence Africa Down Under, qui s'est tenue du 3 au 5 septembre 2025 à Perth en Australie, a constitué le théâtre de cette consécration, où la Côte d'Ivoire s'est révélée être la sensation de l'événement.
À travers un showcase exclusif intitulé « Investir en Côte d'Ivoire dans le secteur minier », organisé le vendredi 5 septembre dernier par le ministère ivoirien des Mines, du Pétrole et de l'Énergie, le pays d'Alassane Ouattara a magistralement démontré qu’il ne se borne plus à figurer parmi les étoiles montantes de l'Afrique occidentale : il surclasse désormais les géants historiques canadiens et australiens en matière d'attractivité minière.
Ce showcase Côte d'Ivoire a réuni plus de soixante délégués internationaux dans la salle Silver Room du Novotel Perth Langley. Lors de son intervention, Seydou Coulibaly, Directeur Général des Mines et de la Géologie, a mis en lumière la richesse du sous-sol ivoirien, les infrastructures modernes qui facilitent l’exploitation et l’exportation, ainsi qu’un climat des affaires en constante amélioration. Il a également souligné la volonté du gouvernement d’intensifier la production, de diversifier les ressources et d’attirer des investissements durables, tout en renforçant la transparence et la gouvernance du secteur.
Ces témoignages sur l’attractivité minière
Le panel d'échanges, animé avec expertise par le consultant Peter Ledwige, a permis à plusieurs éminents dirigeants de sociétés minières australiennes de partager leurs expériences sur le terrain ivoirien.
Justin Tremain, CEO de Turaco Gold, a affirmé, en référence à la Côte d’Ivoire, qu’il n’existait « pas de meilleur endroit au monde pour construire une mine d’or ». Jacob Ricciardone de Perseus Mining et Caigen Wang d’Aurum Resources ont également salué la stabilité politique remarquable du pays, le cadre légal attractif, la célérité dans les procédures, la réactivité et une vision claire des autorités ivoiriennes de faire de l’or un moteur de croissance. Adam Oehlman, dirigeant d’African Gold, a quant à lui souligné la rapidité des découvertes, citant le projet Didievi où près d’un million d’onces ont été identifiées en l’espace de dix mois.
La Côte d’Ivoire a vu sa production aurifère tripler en une décennie, passant de 18 à 58 tonnes entre 2014 et 2024. Cette dynamique remarquable a contribué à positionner le pays comme la première juridiction minière d’Afrique de l’Ouest selon le classement prestigieux du Fraser Institute en 2023. Le Fonds monétaire international prévoit une croissance économique de 6 % en 2024, dont près de 14 % directement portée par le secteur minier.
Malgré cet engouement considérable, les autorités ivoiriennes poursuivent résolument sur leur lancée. Le gouvernement a relevé de deux points le taux de la redevance minière dans la loi de finances 2025 et a entrepris une révision du code minier afin d’assurer une meilleure répartition des richesses.
Au-delà des présentations techniques et des témoignages, le showcase a renforcé la perception de la Côte d’Ivoire comme une destination minière de premier plan. Les discussions ont surtout mis en avant la volonté de bâtir des partenariats stratégiques, de promouvoir une exploitation responsable et de créer de la valeur pour les investisseurs comme pour les communautés locales.
Un pays où il fait bon d’investir
Au cours d’une session plénière, Arnaud Kouassi, Chef de la délégation ivoirienne et représentant Mamadou Sangafowa-Coulibaly, Ministre des Mines, du Pétrole et de l’Énergie, a dévoilé les atouts majeurs de la Côte d’Ivoire.
Le pays ne se distingue pas uniquement par ses prouesses footballistiques en tant que champion d'Afrique en titre. Il se caractérise également par son hospitalité légendaire et détient 35 % des formations géologiques birimiennes d'Afrique occidentale, riches en minerais aurifères, avec des indices et gisements de plus de cinquante autres substances minérales, incluant les minéraux stratégiques.
La Côte d'Ivoire contribue à hauteur de 40 % au PIB de l'Union économique et monétaire ouest-africaine et bénéficie d'infrastructures modernes, de deux ports de référence internationale, et d'un taux d'électrification de 95 %, la constituant en véritable creuset d'opportunités avec des ressources naturelles abondantes et disponibles à des coûts compétitifs.
Grâce aux nombreuses réformes structurelles initiées par Son Excellence Monsieur Alassane Ouattara, Président de la République, la Côte d’Ivoire s’impose aujourd’hui comme une destination privilégiée dans plusieurs secteurs clés, notamment la production et la transformation minière et agricole. L’ambition est claire et ambitieuse : faire du secteur minier le deuxième poumon de l’économie ivoirienne, aux côtés de l’agriculture.
Les résultats s’avèrent particulièrement éloquents : entre 2012 et 2024, la production aurifère a quadruplé ; celle de manganèse a été multipliée par dix, et le nombre de permis de recherche minière est passé de 120 à 189, traduisant l’attractivité croissante et indéniable du pays.
Investir en Côte d’Ivoire, c’est accéder à un marché de 410 millions de consommateurs au sein de la CEDEAO, mais aussi à la Zone de Libre-Échange Continentale Africaine (ZLECAF), qui représente plus de 1,2 milliard de consommateurs.
L'édition 2025 d'Africa Down Under a ainsi marqué une étape décisive dans la stratégie de promotion internationale du secteur minier ivoirien. En s'imposant comme le nouvel épicentre mondial de l'industrie aurifère, la Côte d'Ivoire confirme son ambition légitime de devenir un leader régional dans l'exploitation durable et responsable de ses ressources naturelles.
